Le site photo de Jean-Jacques MILAN

 

Ce site est en principe dédié à la photographie et à la nature. Cependant, je suis aussi un citoyen atterré par la cupidité et la stupidité de la plupart des gouvernants de ce monde et plus encore par la bêtise et le fatalisme de ceux qui les réélisent.


Le gouvernement français profite sournoisement de la pandémie pour accélérer une régression sociale et écologique d'une ampleur sans précédent ; je renierais toutes les valeurs humaines auxquelles je crois si je restais sans réaction. Les mots sont des armes. Vous trouverez dans ce site une longue liste de documents dont je ne saurais trop vous conseiller la lecture ou l'écoute...

 

 

This site is dedicated to photography and nature. However, I am also a citizen appalled by the greed and stupidity of most of the rulers of this world and even more by the stupidity and fatalism of those who re-elect them.

The French government is underhandedly taking advantage of the epidemic to accelerate a social and ecological regression on an unprecedented scale; I would deny all the human values I believe in if I remained unresponsive. Words are weapons. This is why you will find in this website a long list of documents that I would advise you to read or hear...

 

Este sitio está dedicado a la fotografía y la naturaleza. Sin embargo, también soy un ciudadano horrorizado por la codicia y la estupidez de la mayoría de los gobernantes de este mundo y más aún por la estupidez y el fatalismo de los que los reeligen.

El gobierno francés está aprovechando solapadamente la epidemia para acelerar una regresión social y ecológica a una escala sin precedentes; negaría todos los valores humanos en los que creo si no respondiera. Las palabras son armas. Por eso encontrará en este sitio una larga lista de documentos que le aconsejo leer o escuchar...

 

Ceci dit, tout sujet intéressant qui se présente devant mon objectif est bon à prendre !

Qui suis-je ?

 

 

Le tout début :

 

Je suis né à Saint-Émiland, petit village de Saône-et-Loire,  le 3 novembre 1943, sur la table de la Mairie, entre deux registres d'état-civil. Peu de gens peuvent dire autant que moi d'où ils sont, mais c'était la guerre !

 

Études :

 

École primaire à Saint-Émiland, entrée en 6e au Cours Complémentaire d'Épinac, puis études secondaires de la 5e à la Math élem au Lycée Carnot de Dijon.

Après le Bac C, classe de Maths Sup à Carnot.

Entrée en 1962 à l’École Nationale des Arts et Métiers de Lille, dont je suis sorti Ingénieur mécanicien en 1966.

 

Vie professionnelle :

 

J'ai commencé à travailler à la rentrée 1966 comme maître auxiliaire au Lycée Technique d'État de Talence, baptisé depuis Lycée Alfred Kastler. En 1968, année génératrice de bien des souvenirs, j'ai été nommé à l'IUT de Bordeaux, dans le Département de Génie Mécanique où j'ai terminé ma carrière en qualité de Professeur d'ENSAM le 2 octobre 2004. J'ai été en outre Directeur des Études à l'IUT GMP pendant 17 ans. J'ai pu mettre sur pied à partir de 1973 un centre de documentation industrielle, dans l'esprit des programmes fondateurs des départements de Génie mécanique ; ce centre est devenu au fil des années le plus important de toute l'université française mais il fut détruit le 13 mars 1989, victime de ce que l'on a coutume d'appeler un « coup de pied de l'âne ».

 

Entre le lycée Technique d’État de Talence, l'IUT, l'ENSAM, l'Université, l'École d'Architecture et de Paysage, le Conservatoire National des Arts et Métiers, etc., j'ai compté en tout à peu près 12 000 élèves et/ou étudiants et j'espère en avoir bien plus encore avec Wikipédia et surtout Wikilivres, où je m'efforce de participer le plus activement possible !

 

J'ai eu l'occasion de participer à diverses activités de recherche, hors cadres institutionnels, donc avec une totale liberté de pensée. J'ai pu ainsi réaliser divers instruments de mesure et de recherche dans les domaines de la tribologie et de l'orthodontie.

 

Pendant ces 38 ans je me suis intéressé à beaucoup d'autres choses, la photo, la botanique et la nature plus généralement, le dessin d'architecture, la reliure, le jardinage, etc.

 

La photographie :

 

Je pratique cette activité depuis l'an de grâce 1958. C'était hier, ou presque.

Dans les années 1970, j'ai dirigé plusieurs stages de longue durée destinés à la remise à niveau de photographes professionnels.

 

J'ai été un membre actif du Photo-Club d'Aquitaine de 1973 à 1995, puis du Club Photo de l'Amicale Laïque Espoir Pessacais, club que j'ai animé pendant plusieurs années avant de passer la main.

 

Je suis à l'origine de la transformation du Concours Photo de Pessac en Salon International d'Art Photographique. Ce salon fut par la suite couplé avec le Salon International Photo-phylles du Jardin Botanique de Bordeaux. J'eus l'honneur d'être le Salon chairman de ces manifestations pendant dix ans, de 2003 à 2012.

 

En septembre 2012, suite à un profond désaccord à propos des nouveaux modes de fonctionnement du club, j'ai rejoint mes amis du Photo-Club du Val de l'Eyre, à Biganos.

 

Depuis, le Salon International Photo-phylles a pris son indépendance. En 2016, nous avons reçu plus de 2 500 photos, ce qui en fait sans doute le plus important salon mondial entièrement consacré au thème des plantes, des champignons et des myxomycètes.

 

Fin 2018, le 12e salon fut un échec provoqué par des décisions intempestives prises contre mon avis par les dirigeants du Jardin Botanique. J'ai renoncé à en assurer plus longtemps la responsabilité.

 

J'ai créé en 1995 le Groupement ZOOM 33, qui a permis à plus d'une centaine de photographes indépendants ou appartenant à divers clubs d'Aquitaine et même du Maroc de rassembler leurs photos pour les présenter à moindre coût à des salons ou concours. ZOOM 33 a aussi contribué à la création de solides liens d'amitiés entre les participants. Le système original de gestion des envois que j'avais mis au point dès 1984 a permis d'expédier à ce jour plus de 80 000 photos appartenant aux membres de ZOOM 33, dans environ 1 500 salons ou concours, où plus de 2 000 photos ont été primées.

 

Le titre E.FIAP ("Excellence" de la Fédération Internationale de l'Art Photographique) m'a été attribué le 10 mars 2008. Je n'en tire pas une gloire excessive mais il représente tout de même une quantité notable de photographies personnelles acceptées ou primées dans un grand nombre de salons internationaux d'art photographique. Par ailleurs, ZOOM 33 a permis à d'autres participants d'obtenir des distinctions FIAP, en tout 4 E.FIAP et 8 A.FIAP (Artiste de la Fédération Internationale de l'Art Photographique).

 

Je suis aussi membre actif de l'organisation Global Photographic Union, (GPU), ex United Photographers International (UPI), une Association internationale de photographes particulièrement dynamique.

 

Wikibooks :

 

Wikibooks est un domaine parallèle à Wikipédia et destiné à recevoir des livres pédagogiques. Contrairement à Wikipédia, on peut y rédiger des sous-pages, ce qui permet d'établir pour chaque livre un plan qui en facilite la construction collaborative et la lecture.

 

Je m'attache à compléter, dans la mesure de mon temps libre (les retraités sont souvent très occupés !), un très gros wikilivre de photographie et divers autres ouvrages techniques, notamment sur la tribologie, les ressorts, l'étanchéité, la théorie des mécanismes, etc.

 

La Nature :

 

Je participe aux activités de la Société Linnéenne de Bordeaux, sans spécialité particulière, pour le plaisir d'apprendre et de comprendre un peu mieux le monde qui nous entoure.

 

J'avais en son temps créé et développé la section « nature » du Salon International d'Art Photographique de Pessac.

 

Réseaux « sociaux » :

 

Je me suis retiré, parfois avec difficulté, de tous les réseaux sociaux tels que Facebook, Linkedin, etc.

 

Il est inutile de m'inviter à rejoindre tel ou tel d'entre eux 

sauf MeWe qui semble plus que les autres respectueux de la vie privée.

 

 

Séquence "vocabulaire" : Impliqué ou engagé ?

 

Impliquer , verbe transitif  (du latin implicare, envelopper, mêler)

  • Sens 1
    Engager dans une affaire fâcheuse
    Synonyme : mêler
  • Sens 2

   Avoir pour conséquences

 

On peut être IMPLIQUÉ

dans un trafic de drogue, un crime, un détournement de fonds publics,

la pollution de la mer ou d’une rivière, etc.

on est alors un délinquant.

 

 

On peut être ENGAGÉ 

dans une association, un parti politique, une action humanitaire,

une opération de sauvetage, etc.

on est alors un militant.

 

Que nous le voulions ou pas, directement ou indirectement, consciemment ou non, par nos actions quotidiennes, nous sommes tous à la fois impliqués et engagés, mais à des degrés très divers.

 

Personnellement, j'essaie de nuire aussi peu que possible aux êtres qui m'entourent et donc d'être impliqué au minimum.

En revanche je consacre du temps aux choses qui me tiennent à cœur, je m'engage dans des actions pratiques,  j'y investis mon énergie lorsque cela en vaut la peine mais je ne m'y implique jamais.

 

J'ai à cœur de défendre entre autres :

  • la vie sauvage,
  • la justice sociale,
  • la langue française,
  • etc., la liste n'est pas limitative !

 

 

Mollesse et radicalisation

 

En matière de politique et d'écologie, beaucoup de solutions "molles" ont été expérimentées. C'est peu dire qu'elles n'ont jamais fonctionné. Ce qui est mou tend toujours à se liquéfier et à s'écouler vers la droite, sous la pression des lobbies.

 

Ceux qui croient de bonne foi que l'écologie peut être compatible avec le capitalisme n'ont rien compris, ni au capitalisme, ni à l'écologie.

 

 

L'échec ultime du capitalisme n'aura pas lieu dans l'avenir. Il a lieu en ce moment même. Désormais, la dilapidation des ressources de la planète, l'explosion des inégalités sociales, l'empoisonnement des terres et des eaux, la disparition des espèces et la pullulation insensée des humains, ne peuvent plus être jugulés que par des méthodes radicales.

 

 

Opinions religieuses

 

 

 

 

On ne se refait pas...

 

 

Au temps de la Rome antique, le pédagogue était l'esclave

chargé de conduire les petits garçons à l'école...

 

 

 

J'ai souvent dit à mes étudiants :

méfiez-vous des "bons" professeurs !

 

Vous sortez d'un cours absolument génial,

vous avez, de façon quasi miraculeuse,

tout appris, tout compris et tout retenu,

nul besoin de travailler davantage...

 

Funeste illusion !

 

En fait, on vous a servi une belle construction intellectuelle prédigérée, bien lisse, bien propre, prête à consommer.

Vous avez juste été « formaté » pour vous intégrer

dans un système expurgé de toute pensée originale,

où le conformisme et l'obéissance sont les règles.

 

Le regretté André Brahic souhaitait à ses étudiants de DEA

d'être plus ignorants en sortant de ses cours qu'en y entrant.

 

Certes, le bon professeur est celui qui vous permet d'acquérir de nouvelles connaissances, mais c'est surtout celui qui vous ouvre des portes, qui vous donne envie d'aller voir ailleurs si j'y suis,

envie de réfléchir, de critiquer, de douter de tout à chaque seconde, de faire vos propres essais,

bref,

envie de vous élever à la dignité d'ÊTRE HUMAIN.

 

Ce qui est bien sûr absolument incompatible

avec toute forme de soumission à la dictature macronienne.

 

 

 

 

Bac + 60 en 2021,

mais toujours en route physiquement et intellectuellement

vers de nouvelles aventures !

 

Technique

 

J'ai fait mes premières armes en 1959 avec un appareil Savoya, de marque Royer, muni d'un très bon objectif Boyer de 50 mm ouvert à 3,5. En 1969 j'ai pu acheter mon premier reflex, un Icarex signé Zeiss Ikon, muni du Tessar 50 mm et de divers objectifs Soligor à monture interchangeable T4.

 

J'ai ensuite photographié pendant quelques années avec un Miranda Dx3 muni des Soligor et de quelques objectifs de la marque, dont le Macron de 55 mm. Après le retrait de Miranda, j'ai utilisé divers boîtiers Minolta : 303b, XE-5, XG-M, X-500 et X-700. Il fut un temps où toute la famille, ma femme, mes trois fils et moi-même étions équipés de boîtiers Minolta.

 

Une bague d'adaptation "maison" Minolta-Miranda m'a permis de jouer quelques années encore avec mon vieux copain Macron (l'objectif, pas le Président éponyme qui m'amuse beaucoup moins). Compte tenu de l'augmentation du tirage, il me permettait de photographier directement entre les rapports 1/4 et 3/4, ce qui était finalement parfait pour des quantités de sujets.

 

J'ai utilisé aussi tout au long des années 1970 et 1980 quelques autres appareils, notamment un Lubitel acheté 99 F avec son sac en vrai cuir et son déclencheur souple, ainsi qu'un Yashica 124 G pour le travail en studio.

 

C'est avec le Macron, associé au très rustique flash annulaire Sunpak GX-8R, que j'ai photographié pendant des années les insectes, les araignées, les plantes et tout un tas d'autres petits sujets. Vers 1995 un objectif macro Tamron de 90 mm est venu compléter mon fourre-tout.

 

En 2004, un Coolpix 4500 a élargi considérablement mes possibilités et m'a permis de passer en douceur à la photographie numérique ; malgré son grand âge, il fournit encore d'excellentes photos. Ses caractéristiques très particulières permettent d'envisager des prises de vues que nul autre appareil ne permet et je l'utilise encore assez souvent en complément de mon boîtier Canon EOS 70D muni d'un objectif macro EF-S de 60 mm. Un Canon MP-E de 65 mm est venu récemment alourdir encore le fourre-tout, élargissant considérablement les possibilités de photographies de très petits sujets.

Quelques citations qui me plaisent bien

 

 

 

Anonymes ou d'origine incertaine :

  • Le silence des pantoufles est toujours plus redoutable que le bruit des bottes.
  • Celui qui trouve un moustique posé sur ses bijoux de famille comprend très vite que la violence ne peut pas résoudre tous les problèmes du monde.
  • Le mouton a toujours eu peur du loup mais c’est le berger qui le mange. (Proverbe géorgien)
  • Le seul morceau de fromage gratuit, c'est celui qui est dans le piège. (Proverbe russe)
  • Seuls les poissons morts suivent le courant.
  • Il vaut mieux se disputer avec quelqu’un d’intelligent plutôt que de parler calmement avec un imbécile. (Proverbe chinois)

 

 

Ansel Adams :

  • Il n'y a rien de pire qu'une image nette d'un concept flou.

 

Hannah Arendt  :

  • Les mots justes trouvés au bon moment sont de l'action.
  • L'élimination parallèle de toute solidarité de groupe est la condition sine qua non de la domination totale.
  • Pour tenter d'instaurer son pouvoir absolu, le régime en place inonde d'informations contradictoires la population, jusqu'à ce que plus personne ne soit en mesure de savoir où se trouve la vérité.
  • Le sujet idéal de la domination totalitaire n’est ni le nazi convaincu ni le communiste convaincu, mais celui pour qui les distinctions entre fait et fiction et entre vrai et faux n’existent plus.

 

Aristote :

  • Jamais l'esclavage n'est aussi réussi que quand l'esclave est persuadé qu'il est pour son bien.

 

Averroès :

  • L'ignorance mène à la peur, la peur mène à la haine et la haine conduit à la violence.

 

Georges Bernanos :

  • Le monde moderne est essentiellement un monde sans liberté. Il n'y a pas de place dans la gigantesque usine mécanique qui devrait être réglée comme une horloge. La liberté est un luxe que ne saurait se permettre une collectivité lorsqu'elle se propose d'engager toutes ses ressources en vue d'un rendement maximum.

(La liberté pour quoi faire ?)

 

Jacques-Bénigne Bossuet :

  • Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.

 

Bertold Brecht :

  • Le gouvernement estime que le peuple à trahi la confiance du régime et devra travailler dur pour regagner la confiance des autorités. A ce stade, ne serait-il pas plus simple de dissoudre le peuple et d’en élire un autre ?
  • Qui ne connaît la vérité n'est qu'un imbécile. Mais qui, la connaissant, la nomme "mensonge", celui-là est un criminel !

 

André Breton :

  • Il n'est pas admissible que la pensée soit aux ordres de l'argent.
  • La pornographie, c'est l'érotisme des autres.

 

Albert Camus :

  • L’espoir, au contraire de ce qu’on croit, équivaut à la résignation. Et vivre, c’est ne pas se résigner.
  • Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde se défasse. (discours de Stockholm)
  • Le bien-être du peuple en particulier a toujours été l’alibi des tyrans, et il offre de plus l’avantage de donner bonne conscience aux domestiques de la tyrannie. (Hommage à un journaliste, 1955)

 

Aimé Césaire :

  • Une civilisation qui ne peut pas résoudre les problèmes qu’elle a créés est une civilisation en déclin.

 

Claude Chabrol :

  • La stupidité est infiniment plus fascinante que l'intelligence. L'intelligence a des limites, tandis que la stupidité n'en a pas.

 

René Char :

  • Les mots savent de nous des choses que nous ignorons d'eux.

 

Gilbert Keith Chesterton :

  • Le monde ne mourra jamais par manque de merveilles mais uniquement par manque d'émerveillement.

 

Noam Chomsky :

  • Le but des médias n’est pas d’informer ce qui se passe, mais de façonner l’opinion publique selon la volonté du pouvoir dominant des entreprises.
  • Tout gouvernement a besoin d’effrayer sa population et une façon de le faire est d’envelopper son fonctionnement de mystère. C’est la manière traditionnelle de couvrir et de protéger le pouvoir : on le rend mystérieux et secret, au-dessus de la personne ordinaire. Sinon, pourquoi les gens l’accepteraient-ils ?

 

Winston Churchill :

  • S'occuper des choses les plus sérieuses du monde n'est possible qu'à condition de comprendre aussi les choses les plus dérisoires.
  • Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées. (citation également attribuée à un auteur allemand en 1946)
  • Un homme politique grandit pour devenir un homme d’État lorsqu’il cesse de penser à la prochaine élection pour penser à la prochaine génération.

 

Emil Cioran :

  • À vingt ans, je n'avais en tête que l'extermination des vieux ; je persiste à la croire urgente mais j'y ajouterais maintenant celle des jeunes ; avec l'âge on a une vision plus complète des choses.

 

Jean Cocteau :

  • Le sommeil n'est pas un lieu sûr.

 

Michel Colucci, dit Coluche :

  • Les journalistes ne croient pas les mensonges des hommes politiques, mais ils les répètent, c'est pire !
  • On ne peut pas dire la vérité à la télé... Y'a trop de gens qui regardent.

 

Nicolas de Condorcet :

  • Les amis de la vérité sont ceux qui la cherchent et non ceux qui se vantent de l'avoir trouvée.

 

Confucius :

  • On a deux vies, et la deuxième commence quand on se rend compte qu'on n'en a qu'une.
  • Apprendre sans réfléchir est vain. Réfléchir sans apprendre est dangereux.

 

Raymond Depardon :

  • Il faut aimer la solitude pour être photographe.

 

John Dos Passos :

Je n'ai pas assez de foi dans la nature humaine pour être anarchiste.

 

Fiodor Dostoïevski :

  • Il n'y a qu'une chose que les hommes préfèrent à la liberté, c'est l'esclavage.
  • La tolérance atteindra un tel niveau que les personnes intelligentes seront interdites de toute réflexion afin de ne pas offenser les imbéciles .

 

Albert Einstein :

  • Ceux qui aiment marcher en rang sur une musique : ce ne peut être que par erreur qu'ils ont reçu un cerveau, une moelle épinière leur suffirait amplement.
  • Pour être un membre irréprochable parmi une communauté de moutons, il faut avant toutes choses être soi-même un mouton.

  • L’important est de ne jamais cesser de s’interroger. La curiosité a sa propre raison d’exister. On ne peut pas s’empêcher d’être en admiration quand on contemple les mystères de l’éternité, de la vie, de la merveilleuse structure de la réalité. Il suffit simplement d’essayer de comprendre un peu ce mystère chaque jour. Ne perdez jamais votre sainte curiosité.
  • L'obéissance aveugle à l'autorité est le plus grand ennemi de la vérité.

 

Benjamin Franklin :

  • Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux. (attribué à...)
  • Quiconque veut renverser la liberté d'une nation doit commencer par y soumettre la liberté d'expression.

 

Sigmund Freud :

  • Pensez au contraste affligeant qui existe entre l'intelligence radieuse d'un enfant en bonne santé et la faiblesse de pensée d'un adulte moyen. Serait-il tout à fait impossible que l'éducation religieuse porte justement une grande part de responsabilité dans cette sorte d'atrophie ? (1927)

 

Mahatma Gandhi :

  • On reconnaît le degré de civilisation d’un peuple à la manière dont il traite les animaux.

 

Jean Genet :

  • Un homme doit rêver longtemps pour agir avec grandeur, et le rêve est nourri dans l’obscurité.

 

Jacques Higelin :

  • Ceux qui ont peur de mourir ont souvent peur de vivre. Ils respirent prudemment en attendant la fin.

 

Victor Hugo :

  • C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n'écoute pas.

 

Jean-Paul Getty :

  • Lorsque vous devez 100 dollars à la banque,c'est votre problème. Mais si vous devez 100 millions de dollars ça devient le problème de la banque.

 

Aldous Huxley :

  • La victime de la manipulation mentale ignore qu’elle est une victime. Les murs de sa prison lui sont invisibles et elle se croit libre.
  • La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude.
  • Seule la répétition constante réussira finalement à graver une idée dans la mémoire d’une foule. La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter.
  • La médecine a fait tellement de progrès que plus personne n’est en bonne santé.
  • Les hommes et les femmes grandiront en aimant leur servitude et ne rêveront jamais de révolution. Il semble qu'aucune bonne raison n'existe pour qu'une dictature parfaitement scientifique soit un jour renversée.

 

Albert Jacquard :

  • Tu es le lien que tu tisses avec les autres.

 

Jean Jaurès :

  • Quand les hommes ne peuvent plus changer les choses, ils changent les mots.

 

John Fitzgerald Kennedy :

  • À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes.

 

John Kennedy Toole :

  • Quand un vrai génie apparaît en ce bas monde, on le peut reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui.

 

Jacques Lacan :

  • La psychanalyse est un remède contre l'ignorance. Elle est sans effet sur la connerie.

 

Étienne de La Boétie :

  • Il est incroyable de voir comme le peuple, dès qu'il est assujetti, tombe dans un si profond oubli de sa liberté qu'il lui est impossible de se réveiller pour la reconquérir : il sert si bien, et si volontiers, qu'on dirait à le voir qu'il n'a pas seulement perdu sa dignité mais a gagné sa servitude.
  • Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres. Je ne veux pas que vous le poussiez ou l’ébranliez, mais seulement ne le soutenez plus, et vous le verrez, comme un grand colosse à qui on a dérobé sa base, de son poids même fondre en bas et se rompre.

 

Henri Lacordaire :

  • Entre le fort et le faible, c'est la liberté qui opprime et la loi qui libère.

 

François de La Rochefoucauld :

  • L'hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu.

 

Lao Tseu :

  • Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds toi au bord de la rivière, un jour tu verras passer le corps de ton ennemi.

 

Peter Lindbergh :

  • Quand quelqu'un crée quelque chose - une peinture, un poème, une photographie -, la créativité vient d'une idée, d'un sentiment, d'une émotion, ou d'une association d'idées, de sentiments, d'émotions, qui en quelque sorte "renaît" de toutes nos expériences et perspectives.

 

Walter Lippmann :

  • Lorsque tout le monde pense la même chose, c'est que personne ne pense beaucoup.

 

Michel de Lorgeril :

  • On peut me rétorquer qu’on ne parle plus de nos jours que de médecine fondée sur les preuves ! Certes, mais je ferai remarquer qu’il n’y a pas de preuve ou de vérité en science, seulement des concepts et des théories, et que ce qui peut sembler vrai un jour (une théorie quelconque) peut très bien ne plus l’être le lendemain.

 

Nicolas Machiavel :

  • Qui maîtrise les peurs maîtrise les peuple.

 

Curzio Malaparte :

  • Le régime totalitaire est un régime où tout ce qui n'est pas interdit est obligatoire.

 

François Mauriac :

  • Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre.

 

Margaret Mead (1901 - 1978) - Anthropologue.

  • Ne doutez jamais qu'un petit groupe de gens réfléchis et engagés puisse changer le monde. En fait, c'est toujours comme cela que ça s'est passé. 

 

Maurice Mességué :

  • Partout où j’ai trouvé l’ail, j’ai trouvé la santé, partout où j’ai trouvé la santé, j’ai trouvé l’ail.

 

Montesquieu :

  • Dans une monarchie bien réglée, les sujets sont comme des poissons dans un grand filet, ils se croient libres et pourtant ils sont pris.
  • Tout châtiment qui n’est pas absolument nécessaire est tyrannique.

 

Maria Montessori :

  • La fonction du milieu n'est pas de former l'enfant mais de lui permettre de se révéler.

 

Helmut Newton :

  • À la question : « Quelles personnes aimez-vous photographier ? »,ma réponse est : « Ceux que j’aime, ceux que j’admire et ceux que je hais. »

 

Isaac Newton :

  • Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts.

 

Friedrich Nietzsche :

  • Ce qui doit d'abord être démontré ne vaut pas grand chose.

 

George Orwell :

  • Dire la vérité est une trahison dans l’Empire du mensonge.
  • Pour que l'égalité humaine soit à jamais écartée, pour que les grands, comme nous les avons appelés, gardent perpétuellement leurs places, la condition mentale dominante doit être la folie dirigée.
  • Dans des temps de tromperie généralisée, le seul fait de dire la vérité est un acte révolutionnaire.

 

Thomas Paine :

  • Mon pays est le monde et ma religion est de faire le bien.

 

Blaise Pascal :

  • Dire la vérité est utile à celui à qui on la dit, mais désavantageux à ceux qui la disent, parce qu'ils se font haïr.

 

Platon :

  • Le châtiment de ceux qui refusent de s’occuper des affaires publiques est que les affaires publiques tombent dans les mains de moins vertueux qu’eux.
  • Personne n'est plus détesté que celui qui dit la vérité.

 

Ezra Pound :

  • Un esclave est celui qui attend que quelqu'un vienne et le libère.

 

Raymond Queneau :

  • Je suis inculte, parce que je n'en pratique aucun, et insecte, parce que je me méfie de toutes.

 

Jean-Marc Reiser :

  • Le golf, c'est un trou avec des cons autour.

 

Antoine de Rivarol

  • Quand les peuples cessent d'estimer, ils cessent d'obéir.

 

Jean Rostand :

  • L'obligation de subir nous donne le droit de savoir.

 

Jean-Jacques Rousseau :

  • Quand un peuple ne défend plus ses libertés et ses droits, il devient mûr pour l'esclavage.

 

William Shakespeare :

  • C'est un malheur du temps que les fous guident les aveugles.

 

Bernard Shaw :

  • Les hommes politiques et les couches doivent être changés souvent, et pour les mêmes raisons.

 

Jeffrey Steingarten :

  • Tout livre de cuisine préconisant l'usage d'un mixeur ou d'un robot culinaire pour faire de la purée devrait être soigneusement déchiqueté.

 

Tacite :

  • Plus l’État est corrompu, plus les lois sont nombreuses.

 

Gabriel Tarde :

  • Un homme énergique et autoritaire exerce sur les natures faibles un pouvoir irrésistible ; il leur offre ce qui leur manque, une direction. Lui obéir n’est pas un devoir, mais un besoin. C’est par là que débute tout lien social. (1890)

 

Henry David Thoreau :

  • Le citoyen doit-il jamais, pour un instant ou à un degré moindre, soumettre sa conscience au législateur ? Pourquoi chaque homme a-t-il une  conscience ? Je pense que nous devrions être des hommes d'abord, et des sujets ensuite.

 

Thucydide :

  • Il faut choisir, se reposer ou être libre.

 

Alexis de Tocqueville :

  • Je ne crains pas le suffrage universel : les gens voteront comme on leur dira.

 

Mark Twain :

  • La religion a commencé le jour où le premier escroc a rencontré le premier imbécile.
  • A chaque fois que vous vous retrouvez à penser comme la majorité des gens, faites une pause, et réfléchissez...
  • La gentillesse est le langage que les sourds peuvent entendre et que les aveugles peuvent voir.
  • Il y a 3 sortes de mensonges : les petits mensonges, les gros mensonges, et les statistiques.
  • Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été dupés.
  • Un banquier c’est quelqu’un qui vous prête un parapluie quand il fait grand soleil et qui vous le reprend dès qu’il commence à pleuvoir.

 

Paul Valéry :

  • La politique, c'est l'art d'empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde.

 

Pierre Victurnien Vergniaud

  • Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. (attribuée semble-t-il à tort à La Boétie)

 

Oscar Wilde :

  • De nos jours les gens connaissent le prix de tout mais la valeur de rien.

 

Arthur Young :

  • (1777) : Il faut être idiot pour ne pas comprendre que les classes populaires doivent être maintenues dans la pauvreté, sans quoi elles ne seront jamais laborieuses. Pour cela, il faut mettre en place une série de lois et de mesures calibrées pour forcer les paysans à se soumettre en détruisant leurs moyens d'autosuffisance traditionnels. Pourquoi ? Parce que les paysans sont trop indépendants et à leurs affaires pour pouvoir être efficacement exploités.

 

Howard Zinn :

  • Historiquement, les choses les plus terribles : la guerre, le génocide et l'esclavage, ne sont pas le résultat de la désobéissance mais de l'obéissance.