Le quinquennat de la honte !
Du temps de Sarkozy on prenait la droite en pleine figure
mais de ce point de vue au moins les choses étaient claires.
Sous Macron tout se fait en catimini. Les attaques contre l'éducation, l'hôpital, la vie sauvage, les forêts, les services publics, les retraites, bientôt la sécurité sociale, ont un seul but : DÉVALORISER avant de PRIVATISER.
Les actionnaires des banques, des assurances, des industries pharmaceutiques et agrochimiques, etc. et tous les pourris de la finance internationale se frottent les mains.
Sauf quand ils sont trop connus pour faire autrement, les candidats macronistes ont pour instruction d'infiltrer les listes électorales en se dissimulant sous des appellations trompeuses
(divers centre, etc.).
C'est lâche, hypocrite, minable, honteux,
indigne d'un parti politique,
mais pas étonnant.
Ouvrez l’œil et mettez à jour vos antivirus !
Hé,
L'OPPOSITION,
où es-tu ? Réveille toi !
Pendant que tu tergiverses,
la mérule macroniste
s'infiltre partout.
On veut des rouges, des durs,
pas
« des verts des mous ! »
Les amateurs de contrepets apprécieront.
NB : Bien sûr, j'approuve sans réserve
ceux qui ont compris que l'écologie
est absolument incompatible
avec le capitalisme !
Hommage à François Béranger (1937-2003)
François Béranger était un chanteur libertaire qui connut le succès dans les années 1970, malgré le zèle constant des radios et de la télévision, déjà lèche-cul des financiers, qui évitaient soigneusement de diffuser ses disques.
Il n'est pas trop tard pour le (re)découvrir.
Je vous recommande de commencer par cette chanson-là :
Blues parlé du syndicat
À près de 40 ans elle est toujours d'une brûlante actualité !
Vous la trouverez facilement sur l'internet (Youtube par exemple),
et rien ne vous empêche d'en chercher d'autres.
Un livre extraordinaire, au sens propre du terme,
à nul autre pareil, à lire absolument !
Un seul passage, mais d'une brûlante actualité :
C'est face à la tragédie qu'on mesure la valeur des choses. Il est regrettable de faire ce constat, mais en se faisant tuer pour avoir publié des informations ou exprimé des opinions, les journalistes donnent vie à la liberté d'expression. Car la liberté, ça n'existe pas. La liberté est une pure invention de l'esprit humain qui ne prend forme que si on décide de l'exercer et de la revendiquer en la brandissant à la face du monde.
La liberté est un combat contre l'absence d'imagination, contre l'absence de créativité, contre l'absence d'audace, contre l'absence d'insolence, contre l'absence de fougue. Pas de liberté d'expression sans acharnement pour la conquérir et la garder. La liberté est une guerre qui ne finira jamais, et ne disparaîtra que lorsque s'éteindra le dernier homme. La liberté est un brasier qui vous consume 24 heures sur 24 comme le cœur nucléaire d'une centrale, impossible à refroidir et à calmer. Contre les lâches, les timorés, les accommodants, les négociateurs, les ramollos, les mous, les traîtres, les minables, les paillassons, les citrouilles creuses, les bons à rien, les complaisants, les insipides. C'est-à-dire contre pas mal de gens.
Le jour où la connerie est tombée du ciel,
tous n'avaient pas de parapluie !
Quand les citadins s'enfuient des villes
et s'égarent à la campagne,
« ça craint ! »
Avez-vous remarqué que la nature n'est jamais sale ?
La notion de "saleté" est intimement liée à la présence humaine...
Quelque part en Gironde, 5 octobre 2019
Le gag du jour (20/08/2019)
ENEDIS ne sait même pas écrire correctement le mot
"électrique"
voyez plutôt !
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